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Une tite rivière

Le mois de Mai est propice pour les sorties. En effet, de nombreux jours fériés et par conséquent des ponts. La seule variable, mais de taille, c’est l’eau.
Heureusement la pluie est passée par là et les rivières sont remontées. Pour le weekend de l’ascension une sortie est organisée avec Marc et Pierre. Le rendez vous est fixé le 21 mai à 10 h au niveau du loueur de Bas en Basset.
Le matin, Marc téléphone. Il ne retrouve pas ses barres de toit. Qu’à cela ne tienne. Pierre passe par Saint Genest Malifaux pour récupérer le bateau et voilà le cortège se met en branle.
Arrivés au point de débarquement, nous nous mettons en tenue et nous remontons à Pont de Lignon. Le temps de décharger les bateaux, et après le bain traditionnel de Marc, nous embarquons.

Nous échauffons en essayant de remonter le Lignon mais le niveau d’eau est un peu trop bas.
Nous commençons la descente en s’arrêtant au premier rapide pour essayer le surf mais pas de réussite. Du coup la navigation reprend.

Nous ressayons le surf sur d’autres vagues avec plus de réussite pour certain et un bain pour d’autre. Il fallait bien tester les qualités de l’encadrant!!!
Après la récupération du matériel, le vidage du bateau, nous embarquons pour finir tranquillement la descente. Nous arrivons au débarquement et nous remontons les bateaux.
Le temps de se changer mettre les bateaux dans la voiture de Marc et nous voilà repartis pour la navette.
Une belle reprise pour Marc.

1ère étape du CAURAJ 2023

Samedi 25 mars avait lieu la première étape du CAURAJ (Coupe AUvergne Rhône Alpes des Jeunes) à Roanne au club de Matel Sport.
Yanis étant d’accord pour y participer l’inscription fut réalisée. En même temps, pour les adultes avait lieu une épreuve de fond.
Pour les jeunes plusieurs ateliers le matin: virage, marche avant arrière et stop, stabilité. Pour l’après midi une course de 1 ou 2 km selon l’âge.
Quant aux adultes une épreuve de 2 km en contre la montre et l’après midi une épreuve de poursuite sur 3 km. Le premier partant étant le dernier du 2 km. Pierre s’inscrivit même si la course en ligne n’est pas une pratique bien courante pour lui.
Yanis avait pris le wavehopper et Pierre son bateau de descente. Afin de sortir certains bateaux, le K1 CEL fut de la partie.
Arrivés sur place, le temps de se réveiller avec un café, de descendre les bateaux, la réunion avec les jeunes commença. Deux invités de marques: Mathilde FOREST et Bertrand PETITBOUT, qui tous les deux rassemblés ont de nombreux titres de champion de France et des sélection en équipe de France U23 et même une médaille de bronze aux jeux olympique HOPES de 2020.
A 11h19 Pierre prenait le départ pour le 2000 m en contre la montre. Il finit avec un temps de 11’44 », dernier mais pas si loin que cela des autres.
Pendant ce temps Yanis, participait aux différents ateliers. Il a pris une pagaie cuillère et a même essayé le K1 CEL. Pour ce dernier cela n’a pas été une réussite. L’après midi, pour la course de 2 000 m il reprendra le Wavehopper mais avec la pagaie cuillère.

Après la restauration, Pierre commença les hostilités avec le 3 000 m en poursuite. Il parti donc le premier, rattrapé et doublé par les poursuivants après le virage des 1 000 m. Il finit parmi les derniers mais à la 22éme place sur 25.
Ensuite Yanis participa à sa course, qu’il finit avec les encouragements de Pierre.
Le temps de se changer de charger les remorques,, la cérémonie des récompenses a lieu. Yanis recevra une trousse de secours.


Une belle journée même si le soleil n’a pas vraiment été de la partie.

Les Photos
La vidéo

Première sortie eaux vives 2023

Les pluies se faisant plus fréquentes et les niveaux d’eau se maintenant, il est prévu une sortie en eau vive pour le dimanche 15 janvier.
Pour changer les habitudes la rivière sera différente: ce sera l’Aix dans le Forez. Le niveau mini est à 2,5m3. Le samedi les niveaux baissent et se rapprochent dangereusement du seuil fatidique. Qu’à cela ne tienne, nous maintenons. Ils annoncent de la pluie pour la nuit.
Le rendez vous est fixé à 10 h à Boën. En arrivant le constat est là: pas de pluie dans la nuit.
Nous retrouvons d’autres kayakistes à Saint Germain Laval. Nous serons quatre: Benoit et Pierre du club et Guillaume et Olivier. Nous nous rendons à l’arrivée et en passant au dessus de l’Aix nous constatons que les niveaux ont l’air de monter. Le temps de se changer et voilà toute la troupe partie pour le départ.
Arrivés sur le parking, les consignes données, nous voilà partis pour embarquer. La descente commence tranquillement jusqu’au premier arbre. Il faudra débarquer et porter. Premier portage mais pas le dernier. A la fin d’un rapide un arbre se cache juste sous l’eau. Guillaume se bloque contre et Pierre est trop près et se coince aussi. Pas de risque humain mais la corde sera nécessaire pour sortir le kayak. La descente reprend.
Après le long portage de Chissonet nous ré embarquons avant la restitution et il y a assez d’eau pour aller jusque là. Les rapides s’enchaînent sans difficulté et le débarquement est là.
Une belle descente avec 3,5 à 4m3 et du soleil pour nous accompagner.

Enfin de l’eau

En début de semaine la pluie et la neige sont au rendez vous. Les niveaux d’eau montent. Vont ils tenir longtemps? Les niveaux sont surveillés, scrutés. Tout cela à l’air de se maintenir.
Il est grand temps de lancer l’invitation. Chose faite le mercredi. Les premières réponses arrivent mais négatives. Enfin un appel. C’est Benoit qui propose la descente de Balbigny au château de la Roche.
Les inscriptions arrivent petit à petit. En définitif nous serons 4. Un cinquième serait bien venu mais étant cas contact, cela sera pour une prochaine. Trois du club Benoit, Justin et Pierre plus Guillaume.
Un premier rendez vous est fixé à 10 h chez Benoit. Le temps de charger les kayaks sur le toit nous partons à Balbigny pour le départ. A cinq minutes, un bateau souhaite aller plus vite et descend du toit. Le temps de le remettre en place nous arrivons.
Le temps de se changer, faire la navette et nous embarquons. Normalement nous devrions trouver la digue de Pinay. Par contre le niveau, d’eau est trop élevé et nous passerons au dessus sans aucun souci. Par contre le paysage au milieu de la roche mère est magnifique.
Nous traversons des paysages au milieu des roches. De temps en temps des plaques de glaces sur lesquelles nous nous amusons à essayer d’avancer.
Nous essaierons de remonter le ruisseau de la Goutte de Colonges. Une nouvelle discipline pour les pagaies couleurs est née: la pagaie rivière gelée. L’esquimautage est interdit!!!!
Nous reprenons notre navigation sur la retenue. Nous arrivons au niveau de la Goutte de Sac où nous pouvons observer une belle petite cascade gelée.
Nous continuons notre navigation, découvrons un barrage et prenons le bras de dérivation. L’aventure nous amènera …sur la Loire.
Le dernier pont avant l’arrivée au château de la Roche. Nous débarquons avant que le soleil ne se cache définitivement derrière les nuages.

Une belle balade sous le soleil.

Une journée eaux vives

Pour le weekend du 20 et 21 aout, une proposition de navigation sur la Cure et le Chalaux a été lancée. Suite à l’absence de réponse il est décidé de faire une descente de l’Allier de Pont d’Alleyras à Prades.
Le rendez vous est fixé à 7h45 au parking relai de Monistrol sur Loire. Se retrouve Benoit, Kevin et Pierre. Nous chargeons les bateaux et prenons la route de Pont d’Alleyras. En attendant les derniers kayakistes nous buvons un café.
Un souci: la personne qui devait nous faire la navette ne s’est pas réveillée. Nous verrons la solution au cours de la descente.
Vers 10 h tout le monde embarque et nous voici parti pour une trentaine de km. Le parcours jusqu’au barrage est pénible à cause du manque d’eau. Nous sommes obligé de pousser avec les mains. Quand le barrage se rapproche le niveau d’eau monte. Nous arrivons au barrage. Une première personne débarque afin d’examiner le terrain et de trouver le passage. Ce dernier trouvé nous débarquons, passons le barrage et rembarquons en dessous. La véritable descente commence. Des rapides se succédant avec des planiols de quoi se reposer de temps en temps. Tiens un train qui passe, nous avions presque oublié que cela existait.
Nous arrivons enfin à Monistrol. Nous retrouvons une personne qui devait faire la suite de la descente avec nous. Mais il est trop tard. Nous décidons de redescendre les véhicules de Pont d’Alleyras à Monistrol Si besoin de stop il sera plus simple de Prades de trouver pour Monistrol.
Après la navette et la restauration nous reprenons la descente. Les rapides se succèdent sans grandes difficultés. A la roche qui pleure Pierre évite de peu un bain, merci Kevin.
A la baraque à poneys une partie du groupe accélère la descente pour arriver pas trop tard à Prades.
Ouf!!! à Prades nous retrouvons la personne qui devait nous faire la navette. Certains avaient pris les vêtements dans des sacs étanches. Mais pas tout le monde. Le temps d’aller chercher les voitures, de mettre les bateaux sur le toit, il est temps d’aller se désaltérer.
Après une bonne mousse nous voilà reparti vers le point de départ en voiture.
Une bonne journée bien remplie.

De Prades à Lavoulte-Chillac

Devant le manque d’eau et l’absence de proposition de sorite il est décidé de faire Prades Lavoulte-Chillac en bateau de descente.
Pierre prend son nouveau bateau. Cela sera sa première descente avec. L’embarquement à Prades ne posent pas de problème jusqu’au premier gros rapide: le drossage. Devant le manque de technique et d’habitude le bain a lieu. Le temps de récupérer le bateau, il faut chercher la pagaie qui a disparu de la circulation. Heureusement un moniteur présent la retrouve mais en deux parties. Il ne reste plus qu’à retourner à Prades pour voir si Nasser peut m’en passer une. Arrivé sur la plage Nasser rappelle et accepte volontiers d’en prêter une. Ouf la descente va pouvoir continuer.
Cette fois l’embarquement aura lieu en dessous du drossage. La descente se passe bien jusqu’à la glissière de Langeac. En bas de la glissière, des touristes sont juste à l’arrivée. Obligé de tourner à gauche et le bateau se coince entre deux rochers. Après des efforts pour le décoincer et un second bain, Pierre rembarque et continue le chemin.
La seconde glissière, celle du barrage de Chambon se passe sans encombre. Sur la suite du parcours les branches sont basses et le casque tape dedans.
Au détour d’un arbre un martin pêcheur attend tranquillement. Tout le temps de l’admirer avant qu’il ne prenne son envol!!!
La boucle de Lavoulte est là, l’arrivée est bientôt.

Résultat de la descente:
une paire de lunette perdue
un bateau abimé
un portable qui a pris l’eau
une pagaie cassée
et une première descente réussi quand même.

Il ne reste plus qu’à rentrer

La vidéo

Saint Pierre de Bœuf se transformant en Allier

Le 27 mars était prévue une sortie à Saint Pierre de Bœuf. Mais c’était sans compter sur les compétitions organisées. Le bassin était complètement réservé pour la N1 de slalom.
Le rendez vous était fixé à 10 h à la vigie. Les kayakistes partant étaient: Nathalie, Mokthar et Pierre. Et oui toujours les mêmes. En arrivant à la vigie Pierre propose l’Allier au lieu de Saint Pierre. Tout le monde est partant.
Le temps de charger la remorque, nous voilà partis sur Prades, ou plus exactement Pradel, le point d’embarquement des loueurs afin d’éviter le premier rapide en plus de classe III.
En arrivant sur le parking, le bateau de Mokthar veut aller voir le sol. Du coup, nous nous apercevons que le siège est mal fixé. Pierre prend les outils et le siège est remis en place et resserré. Nous pouvons embarquer.
La première merveille nous attend tout près : la chapelle de Sainte Marie des Chazes.

Nous l’admirons tout en continuant le parcours. De temps en temps un petit rapide pour se réveiller et ne pas s’endormir. Les niveaux d’eau étant relativement bas il faut bien choisir sa trajectoire pour ne pas se coincer et ne pas trop gratter.
Vers 13 h nous nous arrêtons pour une pause repas juste avant l’aire naturelle de Chanteuges. Pendant le repas nous profitons de la vue sur l’abbaye de Chanteuges.


Le repas pris il est temps de rembarquer pour continuer le périple. Nous arrivons sur la glissière juste en amont de Langeac. Nathalie angoisse un peu à cause de vieux souvenirs. Mais tout se passe bien et cela la rassure.
Nous arrivons tranquillement à Langeac au point de débarquement.


Une belle descente lors de laquelle le paysage a pu être appréciée.

Weekend d’Halloween

Au départ, il était prévu de participer au stage départemental sur l’Ardèche du 30 octobre au 1er novembre. En même temps le club en profitait pour redescendre le C9 à Vallon Pont d’Arc.
Mais cela était sans compter sur les caprices de la météo. Il a donc fallu annuler ce stage à cause de l’épisode cévenol qui se précisait de plus en plus avec une crue de l’Ardèche et de ses affluents à prévoir.
Pierre redescendit le C9 le 30 octobre et pût constater que la crue de l’Ardèche était bien là. Le dimanche, après une étude approfondie des niveaux d’eau et de la météo il a été décidé de refaire la descente de Chapeauroux à Pont d’Alleyras.
Après SMS et mail 4 protagonistes sont prêts à se mesurer à l’Allier sur cette partie avec un débit prévu autour de 28 m3: Nathalie, François, Mokhtar et Pierre.
Le rendez-vous est fixé à 7h30 à la Vigie afin de pouvoir embarquer vers 10 h. Tout le monde est présent. Nous chargeons les kayaks, le matériel de navigation et nous voilà parti. Le matin certain ont regardés Vigicrue et se sont rendu compte que la pluie de la nuit avait fait monter les niveaux à Langogne.
En arrivant à Pont d’Alleyras, Nathalie regarde l’Allier et fait part de son inquiétude au vu du courant. Les autres la rassurent. Le temps de boire un café, manger des viennoiseries et de se changer, nous voici parti pour Chapeauroux.
Arrivé sur place, le courant est vraiment présent. Pour l’embarquement Pierre embarque juste en dessous de Nathalie pour la rassurer lors du bac.
Tout le monde étant sur l’eau la descente peut commencer. Arrivés sur le premier rapide tout se passe bien, de belles vagues mais pas de rochers.
La descente peut donc continuer. Nous profitons des paysages automnaux et du soleil. Après 1 heure de navigation nous arrivons à la plage habituelle du pique-nique. Par contre étant à l’ombre nous décidons de continuer afin de s’arrêter en profitant du soleil. Nous arrivons sur le premier rapide plus délicat. François passe en premier suivi par Nathalie. Mais… un bain malencontreux nous oblige à stopper la descente à ce niveau. Nous en profitons pour se restaurer et se faire sécher un peu. La pause ne dure pas trop longtemps pour ne pas se refroidir.
Nous rembarquons et continuons la descente. Nous arrivons sur le second rapide délicat. Un second bain est à déplorer. Tout le monde participe à la récupération. Nathalie commence à douter. Nous la rassurons et l’encourageons. Mais…la fatigue et le froid ce faisant sentir un troisième bain. Elle a envie d’arrêter mais pas possible. Pierre accompagne Nathalie en avançant régulièrement afin qu’elle ne prenne pas froid. Nous voyons les premières habitations. Elle reconnait l’endroit où les personnes se baignaient cet été. Cela la réconforte. Elle voit le bout de la descente. Nous arrivons au point de débarquement sans encombre.
Le soleil nous attend pour se changer.
Pierre remonte François à Chapeauroux et redescend à Pont d’Alleyras. Pendant ce temps Mokhtar et Nathalie ont pu se réchauffer avec le soleil et le reste de café.
Malgré les difficultés et les bains tout le monde est content de sa descente et des paysages rencontrés.
Après retour au domicile le niveau était loin des 28 m3, mais plus près des 33.

Les photos

Weekend sur l’Allier

Comme tous les ans à même période un stage sur l’Allier est programmé. En effet, nous pouvons espérer vers le 15 aout avoir de l’eau sur l’Allier.

Cette année le 15 aout étant un dimanche le stage aura lieu le samedi et dimanche. Pour la première année de nombreuses personnes sont intéressées. Il s’agit d’Anaïs si elle ne travaille pas avec les enfants, Nathalie, François, Mokhtar, René et Pierre. Colette prend des renseignements pour savoir si elle pourrait venir. La réponse est positive.

Au début le stage est prévu avec un hébergement au camping de Pont d’Alleyras et la descente de Chapeauroux à Pont d’Alleyras et le lendemain l’Allier sup en raft ou kayak selon le niveau de chacun. Par Contre Pierre, malgré de nombreux appels et message ne trouve personne pour encadrer le raft.  Pour la navigation du second jour nous verrons sur place. La seconde difficulté est le niveau bas sur l’Allier. Le barrage de Naussac ne lâche presque rien. Qu’à cela ne tienne nous ferons quand même le stage.
Au fur et à mesure que la date se rapproche les disponibilités des uns et des autres changent. Ainsi François ne viendra que le samedi, Mokhtar qu’à partir du samedi  soir et par contre Benoit se rajoute pour les deux jours.
Pour Anaïs, Colette, Nathalie et Pierre le départ est prévu le vendredi vers 18h30 après avoir chargé la remorque le jeudi soir. Le temps de répartir les bagages dans les deux voitures le convoi prend la route pour Pont d’Alleyras. Arrivé au camping, nous attend deux grandes emplacements. Benoit est déjà présent. Le temps d’installer le matériel nous cuisinons. Le coucher sera tardif mais pas de souci pour le lendemain. Pierre ayant oublié d’acheter le pain la veille part à la recherche d’une boulangerie. La haute Loire est perdue, en effet, obligé d’aller jusqu’à Le Bouchet Saint Nicolas pour trouver une boulangerie.
Les autres ont profité de ce temps pour commencer les sandwichs. François est aussi arrivé. Le temps de finir de préparer le repas de midi prendre un petit déjeuner et nous voila partis pour Chapeauroux. Nous arrivons au point de départ vers 10h30, une heure plus tard que prévu. Nous déchargeons la remorque et mettons les embarcations à l’eau. Les premiers coups de pagaie sont donnés. Un peu d’appréhension pour certaines mais tout se passera bien.  Pour le premier rapide plus important Pierre passe devant et fait un stop au milieu. Ainsi il pourra filmer et assurer la sécurité. La descente se déroule tranquillement. Pierre prendra un bain mais réussira l’esquimautage, Anaïs cherchera les complications en se mettant en double cravate. Benoit, avec son canoë « Le Prince » descend tranquillement avec des arrêts techniques pour vider le bateau.
Lors d’une de ces pauses Colette essaiera le canoë et se débrouilla plutôt bien.  Colette prendra un bain, heureusement elle a déjà essayé de se retourner et de déjuper à la Vigie, donc pas de panique.
A mi parcours nous nous arrêtons afin de se restaurer. La plage est toujours aussi agréable. Certains en profitent pour se baigner. Nous reprenons le cours de la descente. Au cours de la descente nous apercevons un bœuf de la race Highland. Devant l’immobilité de l’animal certains ont même pensé que c’était une statue, mais non ils sont bien vivants. La suite du parcours se passe bien et  nous arrivons sans encombre à la plage de Pont d’Alleyras vers le camping. Nous remontons les bateaux sur l’emplacement. Le temps de se changer pour les chauffeurs et nous allons rechercher les voitures au départ. François rentrera chez lui et Mokthar nous a rejoints.

Toute la troupe est bien fatiguée. Le programme du lendemain attendra le réveil fixé à 7h30 pour avoir le temps de tout ranger et ne pas partir trop tard.

Après une bonne nuit de sommeil, les corps se réveillent avec plus au moins de douleur. Colette et Nathalie ne souhaitent pas re naviguer. Il est donc décidé de faire Monistrol Prades et de tous se retrouver à Prades après soit une navigation soit du tourisme dans la vallée de l’Allier.
La descente en kayak se passe pas trop mal hormis un premier bain pour Mokhtar avec esquimautage et à la roche qui pleure deux bains Mokhtar et Pierre. Le reste de la descente se passe sans problème et nous arrivons même un peu plus tôt que prévus. Nous finissons par tous se retrouver et pouvoir se changer. Avant de reprendre la route et après avoir fait la navette nous allons prendre une glace dans Prades.

Tout le monde rentre chez lui après un weekend bien rempli et des coups de soleil.

Les photos
La vidéo du premier jour
La Vidéo du second jour

Sortie famille

Le 20 juin était prévue une sortie famille. Suite aux conditions sanitaires et à la fréquentation le soir de la base, l’organisation est modifiée. Un sondage rapidement envoyé permet de définir les choix. Il s’agira d’une descente d’une quinzaine de km avec pique nique au bord de l’eau.
Mais tout cela est sans compter avec les aléas de la météo nous obligeant à nous adapter à la dernière minute.
La météo prévoyant des orages, la descente est raccourcie et le pique nique sera soit à l’arrivée, soit à la vigie selon le temps.
Les participants sont moins nombreux que prévus. Aurélie, son compagnon et leurs enfants ne viennent pas. L’équipe se compose donc de Colette et ses deux petits enfants, Nathalie, Christine et son mari, Marie Agnès, Mokthar et Pierre.
Après avoir choisi les bateaux et chargé la remorque nous voici partis pour l’arrivée. Pierre réfléchit et dit que 2 voitures seront suffisantes mais il a oublié dans ces réflexions que nous ne montions pas à 9 dans une voiture. Heureusement il réalise en cours de route. Donc nous allons directement au départ afin de se changer et redescendre à l’arrivée avec les deux voitures pour en remonter une.
En arrivant au départ le ciel est bien couvert. Pour aller plus vite nous nous changeons et redescendons une voiture.
En arrivant de nouveau au départ la pluie est de la partie. Nous sommes encore obligés de modifier l’organisation. Nathalie, Marie Agnès et Mokthar souhaitent naviguer. Par contre les deux petits enfants de Colette ont froid et le mari de Christine ne souhaite pas non plus faire la descente. Il est décidé que les personnes ne souhaitant pas naviguer reprennent la voiture et la remorque, tandis que les autres règlent les bateaux pour la descente. Cela sera une première pour Nathalie.
Nous embarquons et Nathalie se rend compte très rapidement qu’elle est très mal calée dans le bateau. Du coup elle change de bateau avec Pierre. Les niveaux d’eau sont bas. Il va falloir bien choisir ces trajectoires pour ne pas trop gratter les cailloux. La descente se fait tranquillement sous la pluie qui n’est pas vraiment gênante.
En arrivant aux trois fourches Pierre débarquent afin de pouvoir faire passer les différents bateaux pour l’entrée du rapide. Tout se passe bien.
Nous arrivons à l’arrivée où le reste de l’équipe nous attend. Pierre va chercher la voiture avec la remorque pour charger les bateaux. Pierre recharge et attache les bateaux avec l’aide de Christine et son mari. Les autres sont partis se changer et se restaurer.

Une descente un peu mouvementée pour l’organisation, mais qui s’est bien passée sur l’eau et surtout sans bain.