Archives de catégorie : Nos Dernières sorties

Kayak et bucheronnage


Le vendredi 17 novembre après midi, une sortie en eaux vives est proposée. Trois compères seront de la partie : Benoît, Justin et Pierre. Benoît ne souhaitant pas prendre le canoë pour cause de réparation, Pierre prendra un Blunt au club.
Nous retrouvons à Boën à 13h45. Le temps de charger les bateaux, prendre les affaires et nous voilà parti à Baffy. Nous nous changeons et remontons à Chisonnet pour l’embarquement.
Le niveau d’eau est suffisant (5,5 m3) pour embarquer au niveau de l’usine. Nous voilà parti pour une descente en classe III. A la fin du premier rapide nous devons stopper pour travailler: des arbres sont en travers et nous devons les enlever. Avec une scie, une corde et beaucoup de force humaine voici l’entrée du rapide propre.
Nous devrons refaire le même travail à deux autres reprises, mais pour le troisième une tronçonneuse s’avèrerait nécessaire.
Nous finissons tranquillement la descente avec le passage des barbelés au niveau du moulin de Nigon.
Arrivé à Baffy nous nous mettons au sec et le temps d’aller chercher la voiture, Pierre repart rapidement. Il est 17h30 et à 18h il doit être à Roanne pour une réunion du comité départemental.

La vidéo

4 jours sur l’Allier

Pour le weekend du 15 août, il a été proposé de naviguer sur l’Allier. Il s’agit de la seule rivière avec de l’eau et sur laquelle les adhérents peuvent naviguer.
Le rendez vous a été donné à 11 h à Prades ou 12h à Monistrol d’Allier pour le samedi. Pierre a pris la remorque pour mettre les deux bateaux rivières, le sien et un blunt. Pour les navettes nous pourrons aussi mettre le canoë de Benoit.
Jérôme et Pierre se sont retrouvés à Prades. Le temps de se changer et les voilà partis à Monistrol. Là il retrouve Benoit.
La première navigation sera le haut Allier (Monistrol-Prades) après le passage de la pagaie blanche pour Jérôme. Il a réussi avec brio. Nous pouvons ,commencer la descente. Les premiers rapides se passent sans encombre. Le trou du Curé arrive. Ce sera le premier bain pour Jérôme. Le temps de vider, et de rembarquer, nous continuons la descente. Sur un rapide un peu long le second bain aura lieu. Pas de problème, le pagayeur, le bateau et la pagaie sont récupérés.

Ensuite arrive la roche qui pleure. Jérôme s’arrête sur le stop en amont. Benoit se met en sécurité sur le rocher et Pierre attend en bas du rapide. Jérôme arrive et passe à gauche et reste dans le kayak et sur l’eau. Il reste encore un rapide, la baraque à Poneys. Benoit passe en tête, suivi par Jérôme et Pierre. Au milieu du rapide troisième bain et premiers hématomes sur les fesses.
Nous récupérons le bateau en cravate sur le dernier rocher et nous prenons la pause méritée pour se restaurer. Le reste de la descente se passera sans encombre. Le temps de charger les bateaux sur le toit de voiture de Jérôme et nous voici en route pour Monistrol. Pierre et Benoit vont se rafraichir au bar tandis que Jérôme rentre chez lui.

Nous rejoignons le camping de Pont d’Alleyras où nous trouvons un emplacement pour les trois nuits. Le lendemain ce sera le parcours de Chapeauroux à Pont d’Alleyras. Parcours tranquille sans difficulté. Pierre travaille les stops dans tous les rapides. Au milieu de la descente nous faisons une halte restauratrice sur une des plages. Arrivés au camping nous effectuons la navette avant de prendre notre douche.
Le troisième jour sera celui du vieil Allier. Embarquement après la navette sur la plage. Le niveau d’eau est suffisant, nous ne restons pas coincés sur les rapides avant le barrage. Nous passons le barrage par la droite et nous constatons que le barrage surverse. La suite du parcours s’effectuera donc avec un débit supérieur au 5m3 de débit réservé. En effet, les rapides se passent tous sans problèmes et sans toucher. Benoit a pris le canoë pour cette descente.
Dernière nuit au camping, demain il faudra tout ranger. Après quelques petites pluies durant la nuit, le réveil est gris. Pas de souci, cela va se lever. Nous rangeons tout le matériel, réglons la note du camping et nous pouvons monter à Chapeauroux. Nous laissons la remorque à l’arrivée et nous nous rendons à Jonchères. Nous descendons les bateaux et nous pouvons embarquer. Benoit a pris le canoë. Pierre suit avec son bateau. Arrivés à l’ex infran nous l’étudions mais la sagesse nous le fait porter.
Le reste de la descente jusqu’à la barre se passe sans problème. Ce rapide posera un souci au céiste, un bain. Nous finissons la descente et arrivons à Chapeauroux. Le temps de mettre les bateaux sur la remorque, de remonter au départ et de faire les derniers échanges, nous voici repartis chacun chez soi.

Un beau weekend avec un débit à Saint Haon entre 6,2 et 6,8 m3. De l’eau et du beau temps.

La vidéo du haut allier
La vidéo du second jour

Le big fun Chalaux

Après avoir parcouru les différents carnet d’adresse seul les deux mêmes adhérents sont partant pour participer au Big Fun Chalaux. La distance ne fait pas peur. Que trois heures de route!!!
Le rendez vous est fixé à 19h le vendredi soir chez Ben. ,Pierre prend du retard pour préparer ces affaires. Il n’arrivera que vers 20 h. Le temps de charger le Voyager, beau véhicule bien pratique, et le temps de se restaurer autour d’un barbecue nous voilà partie sur le Chalaux.
Arrivé a environ une demi heure du rassemblement nous trouvons une clairière pour dormir. Seul problème le nombre de moucheron.
Après une nuit de sommeil nous reprenons le chemin pour se rendre au point de rassemblement.
La grenouille emblème du Big Fun 2023
Nous sommes les premiers. Pierre installe sa tente et sort le matériel de camping. Nous décidons d’aller voir la rivière. Sur l’aire d’embarquement nous trouvons un belge qui est partant pour faire la descente du Chalaux. Nous embarquons donc à trois pour la descente. La piscine à Bigues se passe sans encombre. Le rapide des 400m est franchi tout aussi bien. Nous arrivons sur ,la perte des Veaux. Nous descendons le reconnaitre pendant que des hydrospeed se jettent dans le rappel avec une corde. Nous repérons la, trajectoire. Benoit passe avec son canoë puis viens le tour de Pierre qui le passe sans problème et enfin le belge qui le franchit impeccablement. Nous arrivons sur le rapide de Courtibas. Deux personnes seront en sécurité pendant que le troisième naviguera. L’ordre de passage sera le même que pour la perte des Veaux.
Nous finissons tranquillement la descente. Ben va rechercher le véhicule pendant que Pierre attend en surveillant le matériel. Nous remontons au rassemblement. Cette fois nous sommes les derniers à valider notre inscription. Nous redescendons à la zone de départ. Après une briefing sur l’épreuve qui nous attend nous descendons en bateaux au départ du border cross. Cette foir Pierre prendra un bain au stop. Il récupère le matériel et nous allons reconnaitre le parcours. Six bouées sont placées le long du parcours dans des contre. Elles sont plus ou moins cachées. Le but toucher chaque bouée et descendre le plus vite possible en équipe. L’épreuve se déroule en deux rounds.

Benoît ne prendra pas la rampe avec le canoë et Pierre peu téméraire sur le coup embarquera aussi en bas. Pour la course un des organisateur, Hugo, complétera l’équipe.
Nous réalisons nos deux rounds. A l’arrivée du second Benoît continuera sur la rivière tandis que Pierre remontera à pied au véhicule.
Nous retournons au camping pour se changer. Avant le repas nous attend une seconde épreuve: le défi sécurité. Les équipes se succèdent avec plus ou moins de succès. C’est à notre tour et cette fois nous avions deux organisateurs avec nous pour faire une équipe de quatre.

Pendant ce temps les cochons, bien sage, pouvaient ils faire autrement, tourne sur les broches.

Une fois toutes les équipes passées les enfants s’amusent sur la glissade. Il est temps de prendre l’apéro, un très bon punch.
Le repas est servi avec des salades, un morceaux de cochon et des pommes de terre.
Il est temps d’aller se faire reposer les yeux.
Le dimanche matin nous nous levons et le ciel devient bleu. Après un bon petit déjeuner nous voilà reparti pour l’aire de départ. Ce jour il s’agira de partir par quatre et aller le plus vite possible.
Pour se rendre au départ Pierre reprendra son second bain du weekend mais cette fois entorse du genou. Tant que le genou est chaud cela va à peu près. Il pourra faire le premier round de la descente. Il finira dernier et Benoît troisième pendant qu’Hugo finira premier alors qu’avec son équipe il avait fait trois.
Le genou se refroidissant devient douloureux. Du coup Pierre ne fera pas le second passage. Il remontera tranquillement à l’aire de départ. Benoît arrive et nous pouvons remonter à l’aire de camping. Les organisateurs ayant fait les choses en grand un repas est prévu.
Nous nous restaurons et rentrons tranquillement chez nous.
Un super weekend, très bien organisé, plein de bonne humeur une ambiance conviviale.

La vidéo

Une sortie rivière

Afin de programmer des sorties au niveau du comité départemental un ma&il a été envoyé à la présidente du comité avec une sortie le 25 juin sur une rivière de classe I/II soit l’Aix soit le bas Lignon du Forez.
Parallèlement le club a fait passer l’info aux adhérents. Seul deux personnes sont intéressés: Benoit et Pierre. Le rendez vous est donc fixé à 10h à Boën. Après avoir regarder les niveaux la navigation aura lieu sur le bas Lignon de Cleppé à Balbigny.
Une fois la navette effectuée, et une voiture déposée au pont de Balbigny, nous pouvons descendre les bateaux. Après une marche d’approche parmi les herbes relativement haute nous pouvons embarquer.
Le niveau d’eau est correct et nous descendons tranquillement. Arrivé au bec du Lignon nous décidons de faire une pause pour manger, mais les crues n’ayant pas eu lieu cet hiver pas de plage. Nous rembarquons pour aller voir plus loin. Une plage se présente sur laquelle nous pouvons nous restaurer.
Nous reprenons notre périple et nous croisons trois paddles. Un peu loin nous voyons un corps de ragondin flotter sur l’eau et entamé par des écrevisses. Voilà un bon repas pour des silures. Nous arrivons à Balbigny, nous débarquons et effectuons la navette.
Un bien belle navigation tranquille et très agréable.

Sortie sur la Loire

Lors de la permanence de samedi et au vu des niveaux d’eaux, Pierre propose une descente de la Loire de Confolent à Aurec en bateau de descente. François est partant.
Le rendez vous est fixé à 9h à Aurec. Heureusement nous arrivons avant que le parking ne soit payant. Nous chargeons les bateaux sur la voiture de Pierre et remontons à Confolent.
Après avoir embarqué, nous remontons un peu la Loire afin de s’échauffer avant les rapides. Les premières difficultés se passent sans difficulté. Arrivé sur les 3 fourches Pierre passe un peu trop à gauche et du coup prend un bain. Le temps de vider le bateau nous voilà reparti. Sur un rapide, Pierre tape l’avant du bateau sur un rocher tandis que François passe à deux doigts d’une cravate. Pas de souci, le bateau n’a pas subi de dommage.
Nous continuons la descente mais Pierre se rend compte que sa pagaie a subi des dommages et en train de se casser. Il décide quand même de continuer jusqu’à Aurec. Le niveau d’eau est suffisant pour que les grilles se passent bien. Après le saut du chien nous échangeons les pagaies. François étant en Wavehopper et donc beaucoup plus stable que le bateau de Pierre.
La fin de la descente se passe sans problème et nous arrivons au pont d’Aurec pour débarquer.
Le temps de se changer, charger les bateaux et nous voilà reparti pour la navette.
Le record de la descente avec ces différentes mésaventures n’a pas été battu.
Une belle journée et une descente forte agréable.

Une tite rivière

Le mois de Mai est propice pour les sorties. En effet, de nombreux jours fériés et par conséquent des ponts. La seule variable, mais de taille, c’est l’eau.
Heureusement la pluie est passée par là et les rivières sont remontées. Pour le weekend de l’ascension une sortie est organisée avec Marc et Pierre. Le rendez vous est fixé le 21 mai à 10 h au niveau du loueur de Bas en Basset.
Le matin, Marc téléphone. Il ne retrouve pas ses barres de toit. Qu’à cela ne tienne. Pierre passe par Saint Genest Malifaux pour récupérer le bateau et voilà le cortège se met en branle.
Arrivés au point de débarquement, nous nous mettons en tenue et nous remontons à Pont de Lignon. Le temps de décharger les bateaux, et après le bain traditionnel de Marc, nous embarquons.

Nous échauffons en essayant de remonter le Lignon mais le niveau d’eau est un peu trop bas.
Nous commençons la descente en s’arrêtant au premier rapide pour essayer le surf mais pas de réussite. Du coup la navigation reprend.

Nous ressayons le surf sur d’autres vagues avec plus de réussite pour certain et un bain pour d’autre. Il fallait bien tester les qualités de l’encadrant!!!
Après la récupération du matériel, le vidage du bateau, nous embarquons pour finir tranquillement la descente. Nous arrivons au débarquement et nous remontons les bateaux.
Le temps de se changer mettre les bateaux dans la voiture de Marc et nous voilà repartis pour la navette.
Une belle reprise pour Marc.

Première sortie eaux vives 2023

Les pluies se faisant plus fréquentes et les niveaux d’eau se maintenant, il est prévu une sortie en eau vive pour le dimanche 15 janvier.
Pour changer les habitudes la rivière sera différente: ce sera l’Aix dans le Forez. Le niveau mini est à 2,5m3. Le samedi les niveaux baissent et se rapprochent dangereusement du seuil fatidique. Qu’à cela ne tienne, nous maintenons. Ils annoncent de la pluie pour la nuit.
Le rendez vous est fixé à 10 h à Boën. En arrivant le constat est là: pas de pluie dans la nuit.
Nous retrouvons d’autres kayakistes à Saint Germain Laval. Nous serons quatre: Benoit et Pierre du club et Guillaume et Olivier. Nous nous rendons à l’arrivée et en passant au dessus de l’Aix nous constatons que les niveaux ont l’air de monter. Le temps de se changer et voilà toute la troupe partie pour le départ.
Arrivés sur le parking, les consignes données, nous voilà partis pour embarquer. La descente commence tranquillement jusqu’au premier arbre. Il faudra débarquer et porter. Premier portage mais pas le dernier. A la fin d’un rapide un arbre se cache juste sous l’eau. Guillaume se bloque contre et Pierre est trop près et se coince aussi. Pas de risque humain mais la corde sera nécessaire pour sortir le kayak. La descente reprend.
Après le long portage de Chissonet nous ré embarquons avant la restitution et il y a assez d’eau pour aller jusque là. Les rapides s’enchaînent sans difficulté et le débarquement est là.
Une belle descente avec 3,5 à 4m3 et du soleil pour nous accompagner.

Enfin de l’eau

En début de semaine la pluie et la neige sont au rendez vous. Les niveaux d’eau montent. Vont ils tenir longtemps? Les niveaux sont surveillés, scrutés. Tout cela à l’air de se maintenir.
Il est grand temps de lancer l’invitation. Chose faite le mercredi. Les premières réponses arrivent mais négatives. Enfin un appel. C’est Benoit qui propose la descente de Balbigny au château de la Roche.
Les inscriptions arrivent petit à petit. En définitif nous serons 4. Un cinquième serait bien venu mais étant cas contact, cela sera pour une prochaine. Trois du club Benoit, Justin et Pierre plus Guillaume.
Un premier rendez vous est fixé à 10 h chez Benoit. Le temps de charger les kayaks sur le toit nous partons à Balbigny pour le départ. A cinq minutes, un bateau souhaite aller plus vite et descend du toit. Le temps de le remettre en place nous arrivons.
Le temps de se changer, faire la navette et nous embarquons. Normalement nous devrions trouver la digue de Pinay. Par contre le niveau, d’eau est trop élevé et nous passerons au dessus sans aucun souci. Par contre le paysage au milieu de la roche mère est magnifique.
Nous traversons des paysages au milieu des roches. De temps en temps des plaques de glaces sur lesquelles nous nous amusons à essayer d’avancer.
Nous essaierons de remonter le ruisseau de la Goutte de Colonges. Une nouvelle discipline pour les pagaies couleurs est née: la pagaie rivière gelée. L’esquimautage est interdit!!!!
Nous reprenons notre navigation sur la retenue. Nous arrivons au niveau de la Goutte de Sac où nous pouvons observer une belle petite cascade gelée.
Nous continuons notre navigation, découvrons un barrage et prenons le bras de dérivation. L’aventure nous amènera …sur la Loire.
Le dernier pont avant l’arrivée au château de la Roche. Nous débarquons avant que le soleil ne se cache définitivement derrière les nuages.

Une belle balade sous le soleil.

Une journée eaux vives

Pour le weekend du 20 et 21 aout, une proposition de navigation sur la Cure et le Chalaux a été lancée. Suite à l’absence de réponse il est décidé de faire une descente de l’Allier de Pont d’Alleyras à Prades.
Le rendez vous est fixé à 7h45 au parking relai de Monistrol sur Loire. Se retrouve Benoit, Kevin et Pierre. Nous chargeons les bateaux et prenons la route de Pont d’Alleyras. En attendant les derniers kayakistes nous buvons un café.
Un souci: la personne qui devait nous faire la navette ne s’est pas réveillée. Nous verrons la solution au cours de la descente.
Vers 10 h tout le monde embarque et nous voici parti pour une trentaine de km. Le parcours jusqu’au barrage est pénible à cause du manque d’eau. Nous sommes obligé de pousser avec les mains. Quand le barrage se rapproche le niveau d’eau monte. Nous arrivons au barrage. Une première personne débarque afin d’examiner le terrain et de trouver le passage. Ce dernier trouvé nous débarquons, passons le barrage et rembarquons en dessous. La véritable descente commence. Des rapides se succédant avec des planiols de quoi se reposer de temps en temps. Tiens un train qui passe, nous avions presque oublié que cela existait.
Nous arrivons enfin à Monistrol. Nous retrouvons une personne qui devait faire la suite de la descente avec nous. Mais il est trop tard. Nous décidons de redescendre les véhicules de Pont d’Alleyras à Monistrol Si besoin de stop il sera plus simple de Prades de trouver pour Monistrol.
Après la navette et la restauration nous reprenons la descente. Les rapides se succèdent sans grandes difficultés. A la roche qui pleure Pierre évite de peu un bain, merci Kevin.
A la baraque à poneys une partie du groupe accélère la descente pour arriver pas trop tard à Prades.
Ouf!!! à Prades nous retrouvons la personne qui devait nous faire la navette. Certains avaient pris les vêtements dans des sacs étanches. Mais pas tout le monde. Le temps d’aller chercher les voitures, de mettre les bateaux sur le toit, il est temps d’aller se désaltérer.
Après une bonne mousse nous voilà reparti vers le point de départ en voiture.
Une bonne journée bien remplie.

De Prades à Lavoulte-Chillac

Devant le manque d’eau et l’absence de proposition de sorite il est décidé de faire Prades Lavoulte-Chillac en bateau de descente.
Pierre prend son nouveau bateau. Cela sera sa première descente avec. L’embarquement à Prades ne posent pas de problème jusqu’au premier gros rapide: le drossage. Devant le manque de technique et d’habitude le bain a lieu. Le temps de récupérer le bateau, il faut chercher la pagaie qui a disparu de la circulation. Heureusement un moniteur présent la retrouve mais en deux parties. Il ne reste plus qu’à retourner à Prades pour voir si Nasser peut m’en passer une. Arrivé sur la plage Nasser rappelle et accepte volontiers d’en prêter une. Ouf la descente va pouvoir continuer.
Cette fois l’embarquement aura lieu en dessous du drossage. La descente se passe bien jusqu’à la glissière de Langeac. En bas de la glissière, des touristes sont juste à l’arrivée. Obligé de tourner à gauche et le bateau se coince entre deux rochers. Après des efforts pour le décoincer et un second bain, Pierre rembarque et continue le chemin.
La seconde glissière, celle du barrage de Chambon se passe sans encombre. Sur la suite du parcours les branches sont basses et le casque tape dedans.
Au détour d’un arbre un martin pêcheur attend tranquillement. Tout le temps de l’admirer avant qu’il ne prenne son envol!!!
La boucle de Lavoulte est là, l’arrivée est bientôt.

Résultat de la descente:
une paire de lunette perdue
un bateau abimé
un portable qui a pris l’eau
une pagaie cassée
et une première descente réussi quand même.

Il ne reste plus qu’à rentrer

La vidéo