Eric et Sofia, membres du Club Cabriolet 63 en visite découverte dans les gorges de la Loire souhaitent effectuer une descente en eaux vives. Une grande première pour eux! Le CKCF leur propose donc de participer à leur sortie famille annuelle le samedi 6 juillet 2019. 9 participants cette année, les licenciés Pierre, Anaïs, Christine, Sonia, un habitué Henri, et 3 novices Eric et Sofia et surtout mademoiselle Méline toute jeune kayakiste de 8 ans. Ce début d’été très très sec, les cours d’eaux sont excessivement bas, la Loire est à 7m3. Mais pas question pour le club d’emmener des débutants sur une rivière difficile. Une seule solution possible: naviguer entre Pont de Lignon et Bas en Basset. Nous sommes conscients que nous allons fortement « ramés » sur certains tronçons caillouteux! Après les présentations, le choix du matériel, le chargement de la remorque, nous voilà partis direction la Haute Loire. Quelle surprise en arrivant à Bas en Basset, notre chemin d’accès à la mise à l’eau a été condamné par la municipalité! Nous recherchons bien un autre moyen d’accéder aux voitures sans trop avoir à porter les bateaux mais en vain.
A l’embarquement, nous croisons un groupe de jeunes venus avec le loueur et décidons de partir en premier pour éviter la cohue dans le premier rapide. Quelques explications d’usage et on s’engage, mais que fait Sofia? Elle se coince sur un rocher dès l’entrée du rapide. Anaïs la suivant, tente de la remettre dans le courant, mais n’y arrive pas, c’est finalement Sonia qui en prenant de l’élan pousse le Sit on top avec son propre bateau. C’est reparti, tout le monde passe le premier rapide sans encombre, il fallait bien manœuvrer pour éviter tous les cailloux. Mais voilà un kayak à l’eau et non il ne s’agit pas d’un débutant… Sonia s’est retournée à la fin de son stop déséquilibrée par un caillou, pourtant ce n’est pas faute d’avoir elle même expliqué à ses amis « on fait toujours bisou caillou »! Ce petit bain a permis un bon rafraîchissement la chaleur étant étouffante.
Pierre tente quelques surfs dans le rapide, pas évident vu le manque d’eau, Sonia essaie des bacs pour se retrouver ses sensations. Et c’est reparti, en chemin nous croisons quelques milans noirs, une grue, des cormorans qui avaient disparu des gorges depuis un an environ chassés par la fédération de chasse. A l’entrée du rapide des 3 fourches, le manque d’eau oblige Pierre à mettre pied à terre pour aider les bateaux à ne pas tanker. Anaïs en position de sécurité, toute la troupe passe cette difficulté avec succès, mais il ne fallait pas moins d’eau…
Il est 13 heures, les estomacs ont faim, nous nous arrêtons sur une plage, au débarquement Henri tombe à l’eau… Au secours c’est lui qui porte le bidon du casse croûte! Une pause bien méritée, un petit café et à la reprise voilà Henri qui passe de nouveau à la baille, Oh ce n’est pas grave le bidon est vide désormais!
La joyeuse troupe continue sa descente alternant rapides et de nombreux plats, Sofia a trouvé sa vitesse de croisière, elle se dirige bien; Eric malgré la crème solaire est en train de devenir rouge comme une écrevisse; la petite Méline après quelques cris de peurs pensant que le K2 allait se renverser, est maintenant bien à l’aise, rien ne lui fait peur, même pas un petit rapide manœuvrié où le bateau se met en cravate coincé par un gros rocher sur l’arrière et un petit rocher sur l’avant. Écoutant bien les explications de son professeur Hervé, elle n’hésite pas à gîter très fort pour ne pas chavirer et à positionner sa pagaie bien en appui. Bravo! Henri arrive à contourner l’obstacle mais Eric emporté par le courant leur fonce dessus, se renverse, mais une fois à l’eau, il peut ainsi décoincer le kayak. Ouf!
Tout le monde repart, il fait de plus en plus chaud, Anaïs décide d’ôter sa jupe et de naviguer les jambes posées sur le pont avant de son kayak. Quelle idée! Il n’en faut pas moins à Pierre pour la prendre en chasse et tenter de lui faire prendre un bain, mais l’agilité d’Anaïs gagne face au bateau de rivière de Pierre.
Nous voilà maintenant à l’arrivée, tout le monde a bien apprécié cette belle journée. Méline est heureuse, Eric et Sofia ont découvert la Loire qu’ils ne connaissaient pas. Il est temps de se changer, d’effectuer la navette et de rentrer au club.
La saison se termine dans la bonne humeur.
Sortie du 15 juin
Lors de la dernière réunion du bureau, il était prévu d’organiser une sortie eaux vives le 15 juin. La date approchant, un mail est envoyé mais seulement deux personnes sont partantes Sonia et Pierre. Vus les niveaux d’eau très bas il est décidé de se rendre à Saint Pierre de Bœuf. La météo prévoit des orages pour l’après midi. Le départ se fera tôt pour pouvoir profiter de la matinée.
Samedi le rendez vous est fixé à 8h20. Le temps de charger les bateaux, nous prenons la route. En montant le col de la République nous trouvons le brouillard. Mais au fur et à mesure de la descente le temps s’éclaircit et nous arrivons sous le soleil à Saint Pierre. Le temps de se mettre en tenue et nous embarquons sur le bassin. Après un échauffement sur le haut du bassin avec les portes de slalom, nous entamons la première descente. Ce sera une descente tranquille sans travailler, juste quelques stop. Nous prenons le bras de liaison et remontons. La seconde descente s’effectuera de la même manière, mais cette fois nous allons sur le bas pour travailler. Des stops, des reprises, des lettres à la poste…
Nous décidons au bout d’un moment de remonter sur le haut de la rivière. Nous ferons une descente en travaillant. Des stops, des reprises au dessus des cailloux, des essais d’ascenseur… jusqu’au dernier rapide sur lequel Sonia prendra un bain. Le temps de récupérer le bateau, la pagaie et de vider, elle réembarque. Nous remontons par le tapis et recommençons une descente. Pierre attend après la machine à laver. Ne voyant pas Sonia il remonte un peu, se fait prendre dans des courants et goutera à l’eau. Sonia avait pris un bain. La suite de la descente s’effectuera tranquillement.
Il est décidé de s’arrêter pour se restaurer. Le ciel s’assombrit et des gouttes de pluie commencent à tomber. Il est décidé de se changer avant de charger la voiture et rentrer.
Sur le retour, en s’approchant de Saint Étienne nous apercevons des débris de feuilles, de branches sur la route. Nous apprendrons par la suite que l’orage de grêle a sévit et nous ne pouvons que constater les dégâts.
Une bonne journée au cours de laquelle nous aurons évité l’orage.
Sortie le 1er mai
Le mois de mai approchant avec son cortège de jours fériés, et les niveaux d’eaux ayant remontés, il est lancé une invitation pour une sortie d’eau vive.
Le premier à répondre est Marc. Ensuite François et Pierre montrent leur intérêt. Les niveaux d’eau sont étudiés: l’Ance ne sera pas navigable, les niveaux sur l’Allier sont hauts. Il reste donc la Loire. Le débit est d’environ 30 m3.
Le rendez vous est fixé à 9h15 sur la place Foch à Saint Didier. Tout le monde est à l’heure. Après quelques échanges de mots, nous partons. Pierre attend chez le loueur et François au camping. Après un appel téléphonique, merci les portables, nous nous retrouvons chez le loueur. Le temps de se changer, nous nous rendons au départ.
Nous embarquons et nous nous échauffons rapidement sur la confluence du Lignon et de la Loire. L’équipe prend le départ et s’arrête au premier rapide. La vague est difficilement surfable les débits étant un peu hauts.
Nous continuons tranquillement la descente. De temps en temps des arrêts pour des surfs ou des jeux dans le rouleau de « notre » machine à laver.
Nous arrivons chez le loueur. Le temps de se changer et de faire la navette tout le monde peut rentrer à sa chaumière.
Une descente bien tranquille avec un débit de 30 m3 environ.
Sortie du 17 mars
Lors de la dernière réunion du bureau, la première sortie organisée par le club est prévue le 17 mars. Entre temps d’autres sorties ont été effectuées par certains adhérents du club. Il s’agit de Bertrand et Pierre sur l’Ance avec le wavehopper et une Loire par Pierre et Sonia. Lors de cette descente nous avons pu constater les traces de castors.
Pierre a aussi participé à plusieurs épreuves de descente à Montluçon et à Pont d’Ain.
Mais revenons au 17 mars. Après plusieurs mails, Sonia, François, Hervé et Pierre seront de la sortie. Au début une descente de l’Allier sup est envisagée mais vite abandonnée, à cause de la température, de l’éloignement et du niveau technique.
Après avoir surveillé les niveaux d’eaux il est décidé de faire l’Ance du Plot jusqu’à Chizeneuve. Le rendez vous est fixé à 10h à la Vigie. Après avoir chargé les 4 bateaux sur la voiture de François, nous prenons la route. Le temps de se changer à Chizeneuve nous continuons la route jusqu’au Plot. Les niveaux d’eaux paraissent haut, avec des arbres.
Chacun embarque et s’échauffe tranquillement sur la zone d’embarquement. La descente peut commencer. Arrivés sur le premier rapide une surprise. Un arbre barre le bras à fleur d’eau. Nous pouvons passer au dessus mais Sonia prend une mauvaise trajectoire et premier bain.
Le temps de remonter pour l’aider, vider le kayak et réembarquer, nous revoilà partis. Nous arrivons au barrage, des branches dépassent et bougent, il est donc décider de porter. Nous réembarquons sous les yeux de promeneurs sur la passerelle. Nous continuons la descente et nous arrivons de nouveau à des arbres. Sonia se retrouve en cravate. François remonte et se met sous l’arbre pour essayer de la faire passer… mais un bain.
Nous continuons notre descente jusqu’à ce qu’Hervé décide de prendre la température de l’eau. Le temps de récupérer bateau et pagaie nous réembarquons. Le rapide du S se passe bien. Vers l’arrivée Pierre souhaite compléter la série de bains, il passe donc à l’eau.
La fin du parcours se passe sans encombre. Nous débarquons et nous nous changeons sous le soleil. Le temps de faire les navettes, de se restaurer et de boire le café, nous repartons.
Une bien belle journée avec un débit entre 11 et 14m3.
Première sortie 2019
Pierre propose, comme tous les ans, une sortie le premier weekend de l’année. Cette année ce sera le 6 janvier. Les réponses ne sont pas nombreuses. Marc hésite et Bertrand est partant. Bertrand essaiera de décider son père.
En définitif seuls sont partants Bertrand et Pierre. Le rendez vous est fixé au loueur de Bas à 11 h afin que Bertrand puisse repartir tôt. Pierre avait chargé son kayak le samedi après midi, mais il n’avait pas prévu la chute de neige dans la nuit. Le kayak est du coup plein de neige. Les fesses seront au frais.
Aussitôt l’embarquement effectué, nous entamons la descente. Cela sera une descente tranquille sans exercice, l’eau est plutôt fraiche!!!
Lors de la descente nous revoyons les troncs d’arbres en crayon ainsi qu’à deux reprises un martin pêcheur. Nous reverrons aussi la grue.
La biodiversité revient, c’est super.
Une fois arrivés, il est prévu de refaire la descente en bateau de descente. Un nouvel adepte.
Dernière sortie de l’année
Il est décidé, pour clore l’année de faire une sortie en eaux vives le 31 décembre. Les niveaux d’eau ne sont pas très hauts mais suffisants.
Les protagonistes sont Sonia et Pierre. La météo n’est pas très belle, le ciel est gris et les températures pas très élevées. Les manchons seront de sortie. Après avoir fait les navettes nous embarquons, mais la remontée sur le Lignon n’est pas possible. Nous entamons la descente. Au premier rapide, Pierre essaye de surfer mais les branches trop basses empêchent de bien remonter pour prendre la vague.
Nous continuons la descente. Arrivés vers le pont de chemin de fer, nous repérons le rapide qui a un peu changé avec la crue. Sonia passe à gauche et Pierre à droite. De ce coté, il s’est formé un petit seuil. La suite de la descente se passe sans encombre. Nous apercevons, pour la première fois sur ce parcours, des traces de castors.
Nous verrons aussi une grue.
Nous finissons le parcours. Un rayon de soleil est présent le temps de se changer. Le café chaud fait du bien.
Une belle descente pour finir l’année.
A la place du Marathon de l’Ardèche…
Au départ, lors de la création du calendrier, il était prévu une sortie le 10 novembre. La date correspondant au marathon de l’Ardèche, il est proposé d’organiser un weekend sur l’Ardèche. Le samedi nous ferions le marathon en loisir et nous rentrerions que le dimanche.
Les personnes intéressées sont Anaïs, Sonia en K2, François et Pierre. L’hébergement est réservé. Les bateaux seront le wavehopper, un autre de descente et un K2 vert. Il est prévu de se rendre à Vallon Pont d’Arc, regarder les compétiteurs et partir après. Nous arrêterions aussi à Sauze afin d’éviter les plats de la fin. Malheureusement, la météo n’est pas de notre coté. Nous avons beau attendre le vendredi matin nous sommes obligés d’annuler. Même les rivières alentour de l’Ardèche (Beaume, Chassezac) sont en crue. Il n’y aura pas de marathon.
Il en faut plus pour nous démotiver. Pour le dimanche, il est décidé de refaire Pont de Lignon-Aurec, mais cette fois en rivière. En effet, les débits sont environ de 125 m3. Des 4 partants pour l’Ardèche, il reste seulement Pierre et François. Qu’à cela ne tienne, la descente aura lieu.
Les 2 protagonistes se retrouvent pour se rendre à Aurec. Pierre retrouve sa gourde qu’il avait oubliée la semaine d’avant. Nous nous rendons à Pont de Lignon. Après un embarquement sans problème nous remontons le Lignon. Eh oui nous aurons aussi fait le Lignon!!!!
Pour la descente nous décidons de passer par la gauche le premier rapide, il faut bien changer le parcours. Juste avant le pont de chemin de fer, Pierre essaye un surf. Par contre, les rouleaux sont perpendiculaires l’un par rapport à l’autre. Ce qui devait arriver arriva: un bain.
Pour les trois fourches, nous passerons à droite.
Tout le parcours se passe bien. Les plats passent rapidement avec le courant.
Au bout de 2h30 nous arrivons à Aurec.
Conclusion: quelques soient les bateaux tout dépend des débits!!!!
Une sortie pour préparer le marathon de l’Ardèche
Le samedi 3 novembre il est proposé de faire une descente de la Loire en bateau de descente le dimanche. En effet, les débits sont montés et celui de Bas est d’environ 25 m3. De plus il est annoncé du beau temps. Après une sortie sur Grangent en allant jusqu’au 5 ponts, la décision est prise. François et Pierre seront de la sortie le lendemain. Du coup Pierre installe le wavehopper sur le toit de sa voiture. Par contre il sera obligé de redescendre pour prendre une jupe.
Le rendez vous est fixé à 10h sur la place Foch à Saint Didier. Les deux protagonistes sont à l’heure. Nous partons pour se rendre à Aurec. Le temps de se changer, mettre les 2 bateaux sur la même voiture et nous voilà partis à Pont de Lignon.
Arrivés au point d’embarquement Pierre remarque plein de coings. Il les récupérera au retour. Nous admirons aussi les peintures sur les murs.
François embarque en premier et Pierre suit. Par contre, il se débrouille si bien qu’il prend un bain en embarquant.
Le réembarquement effectué, nous commençons la navigation. Tout se passe bien jusqu’au trois fourches dans lequel Pierre se fait prendre dans le contre. Il réussit bien à reprendre le courant. Au bout de 30 mn nous arrivons à Bas. Pierre s’arrêtera pour vider le bateau.
Nous repartons sur les plats. Heureusement quelques rapides ponctuent le parcours. Le temps est beau et agréable. Nous pouvons aussi admirer des hérons perchés sur les rochers.
Au bout de 2h30 nous arrivons au pont d’Aurec. Le temps de se changer et charger les bateaux, nous repartons au point de départ.
Pierre récupérera des coings avant de retourner à la Vigie pour laisser le wavehopper.
Une descente bien agréable en prévision du marathon la semaine suivante.
Sélectif régional de descente de Saint Just
Le 20 octobre il est organisé par le club de Saint Just le sélectif régional de descente classique du barrage au club sur 4 km. Le débit prévu est de 30 m3.
Il est prévu qu’Anaïs, Elie et Pierre fassent la course. En plus viennent Alexandre et François. Le départ est prévu de la Vigie vers 9h. N’étant pas sur qu’avec la remorque nous puissions passer par le pont, nous ferons le tour par Roche.
Nous nous retrouvons tous au barrage. Alexandre et François sont passer par Saint Just pour laisser la voiture d’Alexandre avec son Vélo.
Le temps de se changer et décharger les bateaux, nous nous rendons à l’embarquement. Pierre naviguera avec Anaïs et Elie, tandis que François restera avec Alexandre.
La reconnaissance se passe sans problème ainsi que la descente pour Alexandre. Il repartira en vélo en laissant sa voiture, il faut s’entrainer pour le raid en Réunion!!! Après un repas rapide nous remontons pour la course. Chacun prend son départ sans problème. Anaïs et Elie réussissent bien leur descente, Pierre lui prendra un buisson ce qui le retardera, alors qu’il rattrapait le concurrent précédent.
Pour l’après midi Anaïs fera le sprint du challenge jeune, Elie accompagnera un petit et Pierre assurera la sécurité.
Après les deux manches nous pouvons nous changer et attendre la remise des médailles. En effet, Anaïs finit 3ème de sa catégorie.
Résultat descente
Résultat course suite
Résultat final coupe AURA 1
Résultat final coupe AURA 2
Classement club
Monistrol Prades le 13 octobre
Lors de la planification des sorties, il était prévu de faire une sortie d’eaux vives le 13 octobre. La pluie n’étant toujours pas présente, la seule rivière navigable est l’Allier. Après un recensement de personnes disponibles, il est décidé de faire le parcours de Monistrol à Prades. Les participants sont Sonia, François, René et Pierre.
Le rendez vous est fixé à 8h30 à la Vigie pour être vers 10h30 à Prades. François nous rejoindra directement à l’arrivée. Les bateaux chargés sur la voiture de Sonia, nous prenons la route. Après quelques errements sur la route dus à Pierre, il a confondu Prades et Chapeauroux, nous arrivons et retrouvons François.
Le temps de se changer, charger le bateau de François sur la voiture de Sonia, nous voilà partis pour Monistrol.
Arrivés sur place, il faut faire des changements de jupes, la bleu n’allant pas sur le blunt pour René. Finalement nous trouvons la solution et pouvons commencer la descente.
Les premiers rapides se passent sans problème, même le trou du curé. Arrive le rapide de la benne. Pierre va voir si le passage du milieu est praticable, non il faudra passer à droite. Tout le monde le passe sans problème. Par contre en repartant Sonia fait une erreur de gite et premier bain.
La descente continue. La table, la roche qui pleure ne pose aucun problème. Nous profitons du niveau d’eau correct (12 m3) et du soleil pour ralentir sur les plats.
Arrive la baraque à poneys. François part en premier pour faire le stop derrière le premier rocher. Il est décidé que Pierre suivra Sonia et François enchainera derrière René. Nous nous rendons rapidement compte de l’erreur d’organisation. Sonia commence la descente, prend un bain. Pierre arrive derrière pour aider mais se retrouve sur un rocher afin d’éviter Sonia et le bateau. Second bain. René arrive et troisième bain. La récupération des bateaux prendra du temps. Au bout de quelques instants tout le monde récupère son bateau, mais dans ce bain collectif, Pierre a perdu sa pagaie. Heureusement, il en a une de secours dans le bateau.
La descente peut continuer. Nous passons les dernières grilles sans difficulté, les niveaux étant assez hauts pour faciliter les passages. Nous arrivons sur Prades et tout le monde admire les orgues.
Après une bonne restauration et le chargement des bateaux, nous pouvons rentrer chacun chez soi.
Une première pour Sonia et René.