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Weekend d’Halloween

Au départ, il était prévu de participer au stage départemental sur l’Ardèche du 30 octobre au 1er novembre. En même temps le club en profitait pour redescendre le C9 à Vallon Pont d’Arc.
Mais cela était sans compter sur les caprices de la météo. Il a donc fallu annuler ce stage à cause de l’épisode cévenol qui se précisait de plus en plus avec une crue de l’Ardèche et de ses affluents à prévoir.
Pierre redescendit le C9 le 30 octobre et pût constater que la crue de l’Ardèche était bien là. Le dimanche, après une étude approfondie des niveaux d’eau et de la météo il a été décidé de refaire la descente de Chapeauroux à Pont d’Alleyras.
Après SMS et mail 4 protagonistes sont prêts à se mesurer à l’Allier sur cette partie avec un débit prévu autour de 28 m3: Nathalie, François, Mokhtar et Pierre.
Le rendez-vous est fixé à 7h30 à la Vigie afin de pouvoir embarquer vers 10 h. Tout le monde est présent. Nous chargeons les kayaks, le matériel de navigation et nous voilà parti. Le matin certain ont regardés Vigicrue et se sont rendu compte que la pluie de la nuit avait fait monter les niveaux à Langogne.
En arrivant à Pont d’Alleyras, Nathalie regarde l’Allier et fait part de son inquiétude au vu du courant. Les autres la rassurent. Le temps de boire un café, manger des viennoiseries et de se changer, nous voici parti pour Chapeauroux.
Arrivé sur place, le courant est vraiment présent. Pour l’embarquement Pierre embarque juste en dessous de Nathalie pour la rassurer lors du bac.
Tout le monde étant sur l’eau la descente peut commencer. Arrivés sur le premier rapide tout se passe bien, de belles vagues mais pas de rochers.
La descente peut donc continuer. Nous profitons des paysages automnaux et du soleil. Après 1 heure de navigation nous arrivons à la plage habituelle du pique-nique. Par contre étant à l’ombre nous décidons de continuer afin de s’arrêter en profitant du soleil. Nous arrivons sur le premier rapide plus délicat. François passe en premier suivi par Nathalie. Mais… un bain malencontreux nous oblige à stopper la descente à ce niveau. Nous en profitons pour se restaurer et se faire sécher un peu. La pause ne dure pas trop longtemps pour ne pas se refroidir.
Nous rembarquons et continuons la descente. Nous arrivons sur le second rapide délicat. Un second bain est à déplorer. Tout le monde participe à la récupération. Nathalie commence à douter. Nous la rassurons et l’encourageons. Mais…la fatigue et le froid ce faisant sentir un troisième bain. Elle a envie d’arrêter mais pas possible. Pierre accompagne Nathalie en avançant régulièrement afin qu’elle ne prenne pas froid. Nous voyons les premières habitations. Elle reconnait l’endroit où les personnes se baignaient cet été. Cela la réconforte. Elle voit le bout de la descente. Nous arrivons au point de débarquement sans encombre.
Le soleil nous attend pour se changer.
Pierre remonte François à Chapeauroux et redescend à Pont d’Alleyras. Pendant ce temps Mokhtar et Nathalie ont pu se réchauffer avec le soleil et le reste de café.
Malgré les difficultés et les bains tout le monde est content de sa descente et des paysages rencontrés.
Après retour au domicile le niveau était loin des 28 m3, mais plus près des 33.

Les photos

Journée sur l’Allier

Le weekend du 15 aout est l’occasion d’aller faire un tour sur l’Allier. Après seulement une semaine, nous retrouvons les 2 mêmes protagonistes, à savoir Pierre et François.
Par contre pour le 15 août ils ne seront pas seuls mais accompagnés par Mokhtar, nouveau licencié et Maëlle la fille de François. Le parcours retenu est celui de Chapeauroux à Pont d’Alleyras.
Mokhtar et Pierre partent de la Vigie tandis que que François va directement à Pont d’Alleyras. Tous se retrouvent au bord de l’Allier. Le temps d’échanger quelques mots, se changer et charger le matériel dans la voiture de Pierre, nous partons rejoindre le départ.
Arrivés à Chapeauroux, le Gumotex gonflé, nous embarquons. Nous profitons du début de la navigation pour apprécier le soleil et la température de l’eau. A la confluence avec le Chapeauroux nous constatons qu’il y a de l’eau. Cela se rajoutera au 12 m3 de l’Allier.
Les premiers rapides se passent bien pour tout le monde. Par contre le problème du gonflable est qu’il n’est pas auto-videur et donc, dès que les vagues sont peu hautes le kayak se remplit. Il est donc nécessaire de s’arrêter régulièrement pour vider.

Tranquillement la descente continue. Nous arrivons à la même plage que l’année dernière pour se restaurer. Nous en profitons pour se reposer et reprendre des forces.
Après cette pause méridienne la descente reprend. Nous arrivons tranquillement à Pont d’Alleyras. Nous débarquons, remontons les embarcations. Le temps de dégonfler le Gumotex, de charger les bateaux, nous remontons chercher la voiture de Pierre.
Une bien belle journée, dans un paysage magnifique et sans bain.
Photos

Weekend sur l’Allier

Pierre a eu un appel lui proposant de naviguer sur l’Allier les 8 et 9 août. Toute proposition étant bonne à prendre la proposition est faite à François de venir aussi. Les débits à Saint Haon étant supérieur à 10 m3, François répond par l’affirmative.
Le rendez vous est donc fixè à 9h30 à Chapeauroux. François et Pierre retrouve donc Philippe pour une descente de Naussac à Chapeauroux. Le temps de se changer et de monter au départ nous voilà partis pour 20 km de descente. Le débit est de 12 m3 à 7h30. Nous verrons en définitive que les débits étaient de 14 m3.
Le beau temps est présent. Nous embarquons en bas du pré, Pierre observe les grenouilles vertes, et commençons la descente.
Des rapides sympathiques qui permettent de se mettre en jambe… ou plutôt en bras. L’eau est fraiche et nous permet de ne pas avoir trop chaud.
Arrivant à l’ancien barrage de Saint Étienne du Vigant, François hésite, Pierre décide de passer mais manquant de vitesse il se fait tourner par une veine d’eau enchaine en marche arrière et finit par un bain.

Il était temps de se rafraichir.
Les rapides suivants s’enchainent sans problème, tout le monde passe la triple chute.
Arrive le déculottoir. Pierre se retrouve trop à droite et finit par un bain. Cela fait 2. Lors de ce dernier il récupère ses lunettes qui partaient et en remontant s’aperçoit qu’un des verres est dans sa main. Ouf, pas de lunettes à refaire!!!
Nous mangeons à Jonchères, enfin un peu plus bas sur une plage sans personne.
Nous trouvons 2 autres kayakistes qui se joignent à nous. Seul Philippe passera l’ex infran. Les 4 autres le porteront. Pierre prendra un troisième bain. En arrivant vers la maison blanche Pierre se rattrape sur un rocher afin d’éviter le bain.
Tout le monde se change, Philippe et François remontent chercher la voiture. Pierre surveille les kayaks. François revient seul. Philippe est allé directement à Jonchère pour le bivouac. Le temps de charger les bateaux nous voilà en route pour le bivouac au pied du château.
Enfin ce qu’il en reste et en compagnie des lamas. Après un repas qui fait du bien à tous nous allons nous reposer.

Le lendemain matin le temps est toujours au beau. Nous descendons à Prades pour laisser le véhicule de Philippe. Pierre voit Nasser et échange quelques mots avec lui.
Après s’être mis en tenue nous remontons en direction de Ramenac pour rejoindre l’Allier au pied du barrage de Poutès. Nous garons la voiture, descendons les bateaux et commençons la marche d’approche. Oui Pierre le sait son plan est foireux, n’est ce pas Ben. Après une bonne demi heure de marche nous embarquons. François aperçoit sur le barrage un homme en bleu avec des jumelles. Serions-nous surveillés?
Nous entamons la descente. Les rapides se succèdent sans trop de difficultés jusqu’à ce que Pierre se retrouve en travers dans un rouleau. Grâce a ses appuis et l’aide de François le bain est évité.
Par contre, un peu plus loin le bain aura lieu. Pierre est fatigué, il n’arrive plus à pagayer énergiquement. Nous continuons la descente et arrivons à Monistrol. Pierre décide d’arrêter là. Les nuages noirs se font de plus en plus menaçants. Nous débarquons pour manger. Philippe retrouve 2 limousins qui feront la suite du parcours avec nous. Enfin Philippe et François. Pierre sert de chauffeur et descend la voiture à Prades. Cela arrange tout le monde.
Nous attendons que la pluie s’arrête à l’abri sous une avancée de rocher. La pluie diminuant il est décidé de repartir. Pierre en voiture, les autres en kayak.
Pierre attend sur la plage de Prades l’arrivée des kayakistes. Tout le monde se retrouve et chacun reprend sa direction. Pierre et François rentreront chez eux tandis que les autres retourneront au bivouac de Jonchère.

Les photos 8 août
Les photos 9 août

Première sortie en eaux vives

Suite à une période relativement calme au niveau des sorties, et l’hiver étant clément, il est décidé d’organiser une sortie en eaux vives le 8 février.
Le lieu proposé est la Loire de » Pont de Lignon à Bas en basset. Les niveaux d’eau étant corrects pour des débutants la sortie est proposée à tous.
Notre plus jeune licencié, Antoine,

est tout content d’aller s’amuser dans les rapides. Christine et Marie Agnès, deux nouvelles licenciées sont partantes aussi malgré un peu d’appréhension. Pour encadrer il y a François, Anaïs et Pierre. Sonia sera aussi de la sortie.
Le rendez vous est fixé à 9h à la Vigie et 10h pour François au loueur de Bas.

Après avoir choisi les bateaux et chargé les bateaux, nous prenons la route pour retrouver François. Le temps de se changer, nous reprenons le chemin du départ.
Nous descendons les bateaux et finissons de s’équiper avant de s’orienter vers l’embarquement. Une fois que tous les protagonistes sont sur l’eau nous donnons les premières consignes et commençons la descente. Pierre passe en premier et fait les stops derrière les rochers pour indiquer les directions. Antoine navigue derrière François tandis qu’Anaïs ferme la marche.
Le début de la descente se passe sans problème. Tous les débutants passent très bien les premiers rapides. Nous arrivons sur le rapide du chemin de fer. Pierre indique qu’il faut passer bien à gauche. Un bain a lieu, mais qui est ce? et non pas un débutant mais Sonia.
La suite de la descente se passe sans problème. Le groupe arrive sur le rapide des trois fourches. Tout le monde s’arrête et les consignes sont données. Pierre commence la descente et se trouve devant une branche, trop tard pour la signaler mais pas de risque particulier. Tout le monde passe sans problème.
Le reste de la descente se passera très bien. Tout le monde débarque et chaque navigateur est content de sa descende.
Nos débutants sont bons: aucun bain.
La vidéo

Enfin une descente

En novembre était prévue de faire une descente de la Loire avec les nouveaux adhérents. Malheureusement de grosses pluies empêcheront toutes pratiques d’eaux vives. Les débits sont montés à plus de 600 m3.
Il faudra attendre début décembre pour pouvoir retrouver des niveaux navigable. Du coup le 8 décembre il est décidé de faire une descente de Pont de Lignon à Bas.
Les protagonistes seront François, Marc et Pierre. Tout le monde se retrouve au loueur de Bas. Le temps de se changer et nous remontons à l’embarquement. Vus les niveaux d’eau, environ 70 m3, les itinéraires alternatifs seront utilisés. Au départ nous prenons le bras de gauche. La suite de la descente se passe sans difficulté. Le rapide du pont de chemin de fer apparemment a bien changé. Il faudra voir cela quand les niveaux seront plus bas. Pour les trois fourches, nous prenons le bras de droite.
La suite de la descente se passe sans problème avec des trains de vagues plus ou moins importants.
A l’arrivée Marc prend le bain de décontraction.

La vidéo

Découverte de l’eau vive

En septembre il a été prévu de faire une sortie en eaux vives le 19 octobre. Étant donné que de nombreux adhérents nous ont rejoint il est décidé d’aller, à Saint Pierre de Bœuf. Cela permettra qu’ils puissent tremper leurs pagaies dans des courants.
Les personnes présentes à cette journée seront : Hervé, Sonia, Nicolas, Antoine et Pierre. Hervé et Anaïs partent du haut tandis que les autres partiront sur le lac pour rejoindre le bas de la rivière. Pierre explique à Antoine et Nicolas les reprises, stops et bacs. Après quelques bains les progrès sont réels pour tous. A midi il est temps de s’arrêter pour se restaurer, c’est Antoine qui le premier demande de s’arrêter.

Après le repas Antoine ne rembarquera pas.

Il faut dire que le temps s’est couvert et que des gouttes commencent à tomber. Nicolas décide de partir de tout en haut. Il ne prendra pas de bain tout de suite mais plus bas sur le parcours. Il arrêtera lui aussi de naviguer. Du coup Sonia, Anaïs Pierre et Hervé décident de faire une descente depuis le haut en se faisant plaisir.
La pluie devenant de plus en plus forte tout le monde arrête la navigation. Nous décidons de charger la remorque sous la pluie afin d’éviter de se mouiller après s’être mis au sec. Mais une fois sortie du vestiaire le beau temps est de retour. Une bonne journée bien appréciée des nouveaux adhérents.

Les bonnes résolutions ne s’arrêtant pas là il est décidé de faire une nouvelle sortie à Saint Pierre le 26 octobre. En effet, Anaïs doit passer son examen final d’AMFPC. Cette fois les protagonistes seront Anaïs, Pierre et les deux nouvelles adhérentes Christine et Marie Agnès.
Après avoir chargé les 4 bateaux sur le toit de la voiture, nous prenons le chemin de Saint Pierre. Malheureusement, cela n’est pas habituel, mais la rivière est dans le brouillard. Heureusement il se lèvera et nous aurons du beau temps.
Pendant qu’Anaïs part du haut avec les autres AMFPC, Pierre va avec Christine et Marie Agnès sur le bas de la rivière en partant par le lac.
Arrivé sur les premiers courants il est temps de travailler les reprises, stops et bacs. Si au début ces techniques paraissent difficiles, en fin de matinée elles n’auront plus de secret pour les 2 débutantes.

Le temps de se restaurer et de prendre un café, il est temps de réembarquer. Nous recommençons par des exercices sur le bas de la rivière mais en remontant un peu plus haut. Les techniques deviennent plus sûres et les bains sont des mauvais souvenirs du matin.

Pour finir la journée, il est décidé d’embarquer en haut du ras de liaison afin de faire une partie plus longue d’eaux vives.
Il est temps de remettre les bateaux sur le toit, de prendre une dernière boisson avant de rentrer sur la Vigie.
Une seconde belle journée très appréciée de Christine et Marie Agnès.

Photos
Vidéo

1ere sortie en eau vive

Le samedi 28 septembre a lieu le sélectif régional de descente classique et massstart de Saint Just Saint Rambert.
Afin de profiter du lâcher d’eau, il est proposé de faire la descente. Pierre sera de la partie pour faire la descente et la massstart. Nicolas, nouvel adhérent, et Sonia sont partants aussi.
Nicolas et Pierre se retrouvent à la Vigie tandis que Sonia nous retrouve au barrage de Grangent. Le temps de charger les trois kayaks, le bateau de descente et les deux de rivières, nous prenons la route pour le barrage. Nicolas prend sa voiture pour pouvoir rentrer directement. Nous passons suffisamment tôt pour éviter les voitures du rallye de la vogue des noix.
Nous retrouvons tous au barrage. Le temps de se changer, décharger les bateaux il est temps de faire une navette pour aller à l’arrivée. Nous remontons au départ.
Nous embarquons et commençons la descente. Pierre essaye en même temps de repérer les passages pour la course.
Nicolas se débrouille très bien et suit parfaitement les conseils ce qui fait qu’il passe sans problème le rapide du chenil.
Nous arrivons sans encombre à Saint Just. Nous nous changeons, enfin sauf Pierre qui va enchainer les descentes. Nous remontons avec la voiture de Sonia. Une dernière navette sera effectuée avec la voiture de Nicolas pour redescendre la voiture de Pierre à l’arrivée.
Pierre fera la descente en mettant 2 minutes de moins que l’année dernière et finira 7ème sur 22 au classement de la coupe AURA de descente.

La Lyon Kayak

Pour cette année il est proposé de participer à la Lyon Kayak. Sonia ne l’ayant jamais faite elle est partante.
Nous serons quatre participants: Sonia, Muriel, François et Pierre. Les deux femmes feront les 14 km alors que les hommes s’attaqueront aux 21 km.
Sonia ira à Lyon le samedi pour récupérer les dossards. Le dimanche Muriel, François et Pierre partent de Saint Didier en passant par la Vigie pour récupérer les embarcations et la remorque. Pierre hésite sur le bateau à prendre, mais la prudence le fera décider pour le Wavehopper. En effet, il est annoncé du vent du sud avec des rafales jusqu’à 45 km/h et avec le superstar le bain est trop prévisible.
Nous nous retrouvons sur un parking proche de Confluence. Le temps de se changer nous remontons au départ. Le soleil est présent mais le vent commence à se lever.
Le temps d’embarquer et le départ est donné. François et Pierre se placent devant tandis que Muriel et Sonia restent plus derrière.
Arrivant au niveau de l’île Barbe François et Pierre décident de passer par la gauche. Ils ne mettront pas moins de temps que par la droite. Un dragon boat nous double et François prend la vague.
Arrivés au niveau de la darse de Confluence, François est devant. Le vent est plus important. Il va falloir continuer à descendre la Saône avant de remonter le Rhône. Au virage Pierre est à deux doigts de passer à l’eau. Pierre a du mal sur la fin du parcours et les vagues de 40 à 60 cm.
Enfin, la ligne d’arrivée passée, tout le monde se retrouve sur les quais.
Il est temps d’aller se restaurer avant de retourner à la voiture pour se changer. Le temps que Sonia et François fassent la navette Pierre et Muriel attendent en surveillant les bateaux.
Une journée bien remplie.
Les temps: Sonia 2h 11′ 10″
Muriel 2h 19′ 09″
François 2h 45′ 39″
Pierre 2h 46′ 05″

L’Allier le 18 aout 2019

Comme tous les ans, le weekend du 15aout est synonyme de rassemblement sur l’Allier. Un mail d’invitation est lancé au niveau du club. René et François seront de la partie pour le dimanche 18, tandis que Pierre sera présent à partir du jeudi.
Le rendez vous sera fixé pendant les 4 jours par SMS. Mais cela est sans prévoir la mésaventure de Pierre le mercredi soir. Voulant monter des techniques de paddle à Anaïs, il monte sur la planche mais penche trop sur le coté…et le voilà à l’eau avec le portable dans la poche.
Il part donc dans l’Allier sans portable fonctionnel. Néanmoins avec les portables des autres kayakistes présent le rendez vous est fixé dimanche à 9h30 à Pont d’Alleyras.
Pierre bivouaqueras un peu au dessus de Pont d’Alleyras dans les bois. François et René se retrouvent pour covoiturer après quelques difficultés de localisation des parkings de covoiturage.
Tout le monde se retrouve sur le parking de la plage. Le temps de se changer, de charger le kayak de François sur la voiture de Pierre, nous prenons la route de Chapeauroux. Après quelques brèves discussions avec les kayakistes présents, nous prenons le chemin de la descente.
Le début du parcours se fait tranquillement en admirant le paysage.
Le premier rapide un peu plus délicat approche, tout le monde le passera sans difficultés. René apprécie le Gatino qui lui permet de retrouver les sensations qu’il avait auparavant. La descente continue à un rythme tranquille, se laissant porter par le courant sur les plats et pagayant juste ce qu’il faut dans les rapides.
Lors de la descente un rapide un peu plus marqué surprend un peu tout le monde mais sans problème.
Ce n’est que sur la fin que Pierre se fera remarquer. En passant un rapide formé d’un seuil il prend un petit rocher qui le fait passer à l’eau. François et René savent maintenant ou il ne faut pas passer.
La fin de la descente se passe sans encombre e nous arrivons sur la plage. Nous débarquons, nous changeons et pouvons nous restaurer.
Les bateaux son fixés sur le toit de la voiture de François et nous remontons chercher la voiture de Pierre. Après avoir changer les bateaux de voitures nous reprenons le chemin du retour.
Un weekend bien chargé pour Pierre et une descente dans un cadre magnifique pour François et René.
La vidéo

Sortie Famille 2019

Eric et Sofia, membres du Club Cabriolet 63 en visite découverte dans les gorges de la Loire souhaitent effectuer une descente en eaux vives. Une grande première pour eux!  Le CKCF leur propose donc de participer à leur sortie famille annuelle le samedi 6 juillet 2019. 9 participants cette année, les licenciés Pierre, Anaïs, Christine, Sonia, un habitué Henri, et 3 novices Eric et Sofia et surtout mademoiselle Méline toute jeune kayakiste de 8 ans. Ce début d’été très très sec, les cours d’eaux sont excessivement bas, la Loire est à 7m3. Mais pas question pour le club d’emmener des débutants sur une rivière difficile. Une seule solution possible: naviguer entre Pont de Lignon et Bas en Basset. Nous sommes conscients que nous allons fortement « ramés » sur certains tronçons caillouteux! Après les présentations, le choix du matériel, le chargement de la remorque, nous voilà partis direction la Haute Loire. Quelle surprise en arrivant à Bas en Basset, notre chemin d’accès à la mise à l’eau a été condamné par la municipalité! Nous recherchons bien un autre moyen d’accéder aux voitures sans trop avoir à porter les bateaux mais en vain.
A l’embarquement, nous croisons un groupe de jeunes venus avec le loueur et décidons de partir en premier pour éviter la cohue dans le premier rapide. Quelques explications d’usage et on s’engage, mais que fait Sofia? Elle se coince sur un rocher dès l’entrée du rapide. Anaïs la suivant, tente de la remettre dans le courant, mais n’y arrive pas, c’est finalement Sonia qui en prenant de l’élan pousse le Sit on top avec son propre bateau. C’est reparti, tout le monde passe le premier rapide sans encombre, il fallait bien manœuvrer pour éviter tous les cailloux. Mais voilà un kayak à l’eau et non il ne s’agit pas d’un débutant… Sonia s’est retournée à la fin de son stop déséquilibrée par un caillou, pourtant ce n’est pas faute d’avoir elle même expliqué à ses amis « on fait toujours bisou caillou »!  Ce petit bain a permis un bon rafraîchissement la chaleur étant étouffante.
Pierre tente quelques surfs dans le rapide, pas évident vu le manque d’eau, Sonia essaie des bacs pour se retrouver ses sensations. Et c’est reparti, en chemin nous croisons quelques milans noirs, une grue, des cormorans qui avaient disparu des gorges depuis un an environ chassés par la fédération de chasse. A l’entrée du rapide des 3 fourches, le manque d’eau oblige Pierre à mettre pied à terre pour aider les bateaux à ne pas tanker. Anaïs en position de sécurité, toute la troupe passe cette difficulté avec succès, mais il ne fallait pas moins d’eau…
Il est 13 heures, les estomacs ont faim, nous nous arrêtons sur une plage, au débarquement Henri tombe à l’eau… Au secours c’est lui qui porte le bidon du casse croûte! Une pause bien méritée, un petit café et à la reprise voilà Henri qui passe de nouveau à la baille, Oh ce n’est pas grave le bidon est vide désormais!
La joyeuse troupe continue sa descente alternant rapides et de nombreux plats, Sofia a trouvé sa vitesse de croisière, elle se dirige bien; Eric malgré la crème solaire est en train de devenir rouge comme une écrevisse; la petite Méline après quelques cris de peurs pensant que le K2 allait se renverser, est maintenant bien à l’aise, rien ne lui fait peur, même pas un petit rapide manœuvrié où le bateau se met en cravate coincé par un gros rocher sur l’arrière et un petit rocher sur l’avant. Écoutant bien les explications de son professeur Hervé, elle n’hésite pas à gîter très fort pour ne pas chavirer et à positionner sa pagaie bien en appui. Bravo! Henri arrive à contourner l’obstacle mais Eric emporté par le courant leur fonce dessus, se renverse, mais une fois à l’eau, il peut ainsi décoincer le kayak. Ouf!
Tout le monde repart, il fait de plus en plus chaud, Anaïs décide d’ôter sa jupe et de naviguer les jambes posées sur le pont avant de son kayak. Quelle idée! Il n’en faut pas moins à Pierre pour la prendre en chasse et tenter de lui faire prendre un bain, mais l’agilité d’Anaïs gagne face au bateau de rivière de Pierre.
Nous voilà maintenant à l’arrivée, tout le monde a bien apprécié cette belle journée. Méline est heureuse, Eric et Sofia ont découvert la Loire qu’ils ne connaissaient pas. Il est temps de se changer, d’effectuer la navette et de rentrer au club.
La saison se termine dans la bonne humeur.